(A.Cooper, B.Taupin, D.Wagner)
L'album s'achève sur une note presque épique. Une orchestration fabuleuse et une interprétation hors-pair font de ce "Inmates" un des titres les plus artistiques du Seigneur Cooper.
Les protagonistes sont les 3 personnages à l'extrême-droite de la photo, avec la clef à molette (pour faire dérailler un train), la pelle (pour déterrer des tombes) et le briquet (pour mettre le feu à une église). De tous les internés de l'hôpital, ce sont eux les plus allumés.
Le morceau débute par une très belle intro au piano et au violon, nous mettant dans une atmosphère cinématographique.
Et c'est un Alice Cooper alternant voix rauque, voix douce et voix de cinglé qui se met dans la peau d'un véritable malade mental qui ne croit pas vraiment que ses actes criminels soient si graves que ça : "C'est pas comme si on avait fait quelque chose de mal, on a juste incendié l'église pendant que la chorale y chantait des chansons religieuses. Et c'est pas comme si on pensait qu'on avait raison. On a juste joué avec les roues d'un train plein de passagers qui a déraillé une nuit. C'est pas comme si on n'avait pas toute notre tête, on parle juste à nos psys. "Huh, ils parlent à leurs psys !" Pas étonnant qu'on soit fous. Et on n'est pas stupides ou idiots, on est les extrêmistes fanatiques qui ont rouillé leur dépendance aux fils et filles de l'Oncle Sam."
Le 1er refrain est chanté en alternance, d'abord par une tendre voix féminine : "Ces bon vieux garçons et filles qui se rassemblent et attendent dans un autre monde", puis Alice vient casser cette douceur : "Avec des cerveaux en montagnes russes, imaginez-nous jouer avec des trains." La voix féminine refait son apparition et laisse Alice entonner, sous forme de contine : "Nous sommes tous fous, nous sommes tous fous..."
Après le refrain, une toute petite voix enfantine nous parle d'un fait divers qui s'est réellement passé, sous la forme d'une contine très connue aux Etats-Unis : "Lizzie Borden a pris une hâche et frappé sa mère 40 fois."
Lizzie Borden avait été accusée du meutre à coups de hâche de son père (11 coups) et de sa belle-mère (18 coups) le 4 août 1892 dans le Massachusetts, mais fut acquittée.
Dans le 2e couplet, Alice brise brusquement le silence : "Et ne croyez pas qu'on essaye d'être méchants. Non ! Tous les crimes innocents avaient l'air si justes à l'époque, pas nécessairement fous. On attend tous les jours le bus, et le chauffeur nous dit "C'est ici que les lunatiques restent." Je me demande s'il parle de nous. C'est pas comme si on était vicieux ou barrés. Non ! On a juste déterré les tombes où vos familles reposent dans le vieux Forest Lawn (Forest Lawn est le cimetière des stars de Hollywood, situé à Los Angeles). Et c'est pas comme si on savait pas à quoi s'en tenir. On est l'élite fragile qu'ils ont traîné hors des rues, je pense qu'ils ne pouvaient tout simplement plus nous supporter."
Le second refrain est identique au 1er, excepté la phrase d'Alice : "Avec des cerveaux en montagnes russes, imaginez-nous déterrer des tombes."
Pour finir le titre, les choeurs se joignent à Alice pour clamer leur folie, et à la fin, on croirait entendre un troupeau de zombies, avant que le titre se termine sur un magnifique violon...
Et c'est ainsi que se clôt "From The Inside"...
Les protagonistes sont les 3 personnages à l'extrême-droite de la photo, avec la clef à molette (pour faire dérailler un train), la pelle (pour déterrer des tombes) et le briquet (pour mettre le feu à une église). De tous les internés de l'hôpital, ce sont eux les plus allumés.
Le morceau débute par une très belle intro au piano et au violon, nous mettant dans une atmosphère cinématographique.
Et c'est un Alice Cooper alternant voix rauque, voix douce et voix de cinglé qui se met dans la peau d'un véritable malade mental qui ne croit pas vraiment que ses actes criminels soient si graves que ça : "C'est pas comme si on avait fait quelque chose de mal, on a juste incendié l'église pendant que la chorale y chantait des chansons religieuses. Et c'est pas comme si on pensait qu'on avait raison. On a juste joué avec les roues d'un train plein de passagers qui a déraillé une nuit. C'est pas comme si on n'avait pas toute notre tête, on parle juste à nos psys. "Huh, ils parlent à leurs psys !" Pas étonnant qu'on soit fous. Et on n'est pas stupides ou idiots, on est les extrêmistes fanatiques qui ont rouillé leur dépendance aux fils et filles de l'Oncle Sam."
Le 1er refrain est chanté en alternance, d'abord par une tendre voix féminine : "Ces bon vieux garçons et filles qui se rassemblent et attendent dans un autre monde", puis Alice vient casser cette douceur : "Avec des cerveaux en montagnes russes, imaginez-nous jouer avec des trains." La voix féminine refait son apparition et laisse Alice entonner, sous forme de contine : "Nous sommes tous fous, nous sommes tous fous..."
Après le refrain, une toute petite voix enfantine nous parle d'un fait divers qui s'est réellement passé, sous la forme d'une contine très connue aux Etats-Unis : "Lizzie Borden a pris une hâche et frappé sa mère 40 fois."
Lizzie Borden avait été accusée du meutre à coups de hâche de son père (11 coups) et de sa belle-mère (18 coups) le 4 août 1892 dans le Massachusetts, mais fut acquittée.
Dans le 2e couplet, Alice brise brusquement le silence : "Et ne croyez pas qu'on essaye d'être méchants. Non ! Tous les crimes innocents avaient l'air si justes à l'époque, pas nécessairement fous. On attend tous les jours le bus, et le chauffeur nous dit "C'est ici que les lunatiques restent." Je me demande s'il parle de nous. C'est pas comme si on était vicieux ou barrés. Non ! On a juste déterré les tombes où vos familles reposent dans le vieux Forest Lawn (Forest Lawn est le cimetière des stars de Hollywood, situé à Los Angeles). Et c'est pas comme si on savait pas à quoi s'en tenir. On est l'élite fragile qu'ils ont traîné hors des rues, je pense qu'ils ne pouvaient tout simplement plus nous supporter."
Le second refrain est identique au 1er, excepté la phrase d'Alice : "Avec des cerveaux en montagnes russes, imaginez-nous déterrer des tombes."
Pour finir le titre, les choeurs se joignent à Alice pour clamer leur folie, et à la fin, on croirait entendre un troupeau de zombies, avant que le titre se termine sur un magnifique violon...
Et c'est ainsi que se clôt "From The Inside"...
It's not like we did something wrong
We just burnt down the church
While the choir within
Sang religious songs
And it's not like we thought we was right
We just played with the wheels
Of a passenger train
That cracked on the tracks one night
It's not like we ain't on the ball
We just talk to our shrinks
"Huh, they talk to their shrinks"
No wonder we're up the wall
And we're not stupid or dumb
We're the lunatic fringe
Who rusted the hinge
On Uncle Sam's daughters and sons
Good old boys and girls
Congregating waiting in another world
With rollercoaster brains
Imagine playin' with trains
Good old boys and girls
Congregating waiting in some other world
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
Lizzie Borden took an axe
And gave her mother forty whacks
And don't think we're tryin' to be bad
No ! All the innocent crimes
Seemed all right at the time
Not necessarily mad (Not necessarily mad)
We watch everyday for the bus
And the driver would say
"That's where lunatics stay"
I wonder if he's talkin' 'bout us
It's not like we're vicious or gone
No ! We just dug up the graves
Where your relatives lay
In old Forest Lawn
And... and it's not like we don't know the score
We're the fragile elite
They dragged off the street
I guess they just couldn't take us no more
Good old boys and girls
Congregating waiting in another world
With rollercoaster brains
Imagine digging up graves
Good old boys and girls
Congregating waiting in some other world
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
We're all crazy, we're all crazy
We're all crazy...
karlboa14, Posté le samedi 15 août 2009 11:12
salut !!!!! a ça y'ai les seventies s'achève et nous allons bientot decouvrir les 80's :p peut etre pas la meilleur decennies du coop mais bon tout artiste connait ses heures de gloire et tous connaissent des heures plus sombres.